10 clips vidéo géniaux en une prise

Musique | Un clip vidéo en une prise, c'est-à-dire filmé d'une traite, sans coupure, peut être le plus beau qui soit. Du moins s'il a été réalisé convenablement.C'est vraiment le cas pour Kiesza et son « Hideaway ». D'un taxi à l'autre, elle se livre à une impressionnante chorégraphie dans Brooklyn. Juste avant la prise, elle s'était cassée une côte et suite à l'enregistrement intense, elle n'a plus pu bouger pendant un mois.

De MediaForta

Publié le 07.12.15

2min

Un clip vidéo en une prise, c'est-à-dire filmé d'une traite, sans coupure, peut être le plus beau qui soit. Du moins s'il a été réalisé convenablement.C'est vraiment le cas pour Kiesza et son « Hideaway ». D'un taxi à l'autre, elle se livre à une impressionnante chorégraphie dans Brooklyn. Juste avant la prise, elle s'était cassée une côte et suite à l'enregistrement intense, elle n'a plus pu bouger pendant un mois.

Pluvieux

L'ambiance dans « Yellow » de Coldplays n'aurait pas pu être mieux choisie.C'est le moment de donner quelques explications : normalement, le clip vidéo aurait dû être mis en boîte par un temps radieux. Le jour prévu de l'enregistrement, on enterrait la maman du batteur Will Champion, ce qui justifiait l'absence du groupe. Les hommes ont trouvé que la pluie et l'imperméable étaient une référence à la hauteur de la douleur des Champions.

La simplicité est toujours payante

Rien qu'en voyant la pochette de Maichael Andrews et Gary Jules de Tears of Fears pour leur chanson « Mad World », on se calme immédiatement, impossible de faire autrement.Tout ce dont ils ont eu besoin pour ça, c'est d'un groupe de personnes dans la rue, du chanteur, du pianiste et d'un caméraman.

Faire la fête avec Feist

L'Australienne Sally Seltmann a sorti en 2007 l'amusant morceau « 1234 », accompagné d'un clip vidéo qui remonte vraiment le moral.Riche en couleurs, inventif, très animé et en même temps... mystérieux. Car où vont les 46 danseurs à la fin ?

Drone

OK Go a démontré l'an dernier tout ce que l'on pouvait faire avec un drone, quelques centaines de parapluies et une école de jeunes filles japonaises motivées.Dans « I Won't Let You Down », le quatuor transforme une cour de récréation en un grand écran de télévision vivant.

Sauter de joie

Bien avant que Pharrell ne nous remplisse de joie au quotidien, Goldfrapp avait fait exactement pareil avec « Happiness ».Tout au début, on voit Alison Goldfrapp sur l'escalier, ensuite avec les cheveux noirs à l'arrêt du bus, comme agent de police, jardinière et fleuriste. Will Gregory joue un balayeur de rue et un facteur. C'est grandiose, surtout si l'on songe au nombre de costumes qu'ils ont dû enfiler. Par ailleurs, devinez qui joue le couple de personnes âgées à la fin ...

Ère des Schnapps

Les Allemands de Blumentopf nous étaient inconnus jusqu'ici.Dommage, surtout si vous aimez des petites perles de clips vidéo comme ce « Neulich in der City ». Combiner les paroles à des dizaines d'actions et de figurants est un tour de force de taille.

Promenade dans le ghetto

« Unfinished Sympathy » de Massive Attack est filmé dans Los Angeles et le groupe s'en souviendra.De nombreuses personnes bien visibles à l'image ne sont pas des figurants, mais de vrais habitants du quartier. Au début, les membres du gang avec le chien ont refusé, par exemple, de débarrasser le terrain. Le réalisateur Baillie Walsh a dès lors décidé de peser le pour et le contre et de les utiliser tout simplement comme ouverture.

Aspergez tout !

Il fait bon d'être la chanteuse canadienne Lights !Combien de gens ne rêvent-ils pas de pouvoir entièrement repeindre une maison d'un blanc immaculé avec les couleurs les plus voyantes qui soient ? Même si on accélère les images, Lights prononce quand même le texte presque parfaitement.

Qui ça ?

Nous n'aborderons pas ici les qualités de J. Cole et de « Who Dat ».Chacun ses goûts. En revanche, ce que nous trouvons rafraîchissant, c'est qu'il ose s'éloigner du clip de rap stéréotypé plein de voitures bling bling, de dollars tourbillonnants et de bimbos comme on n'en fait plus. Non, il préfère ce terrain industriel abandonné, le feu dans le brasero et une fanfare débordante d'enthousiasme.