Les meilleures photos 2014 du monde animal

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De Pickx

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Les lauréats du concours photographique Wildlife Photographer of the Year 2014 (WPY), créé par le Natural History Museum et BBC Wildlife, sont connus. L’Américain Michael 'Nick' Nichols en est le grand vainqueur. C’est lui qui a décroché l’award du  Wildlife Photographer of the Year (WPY) 2014 pour sa photo d’un groupe de lionnes dans le Serengeti National Park, en Tanzanie. Outre Nichols, qui a remporté la récompense suprême, des lauréats ont également été désignés dans 17 autres catégories, parmi lesquelles Mammifères, Oiseaux, Environnement et World in Our Hands. L’attrait particulier de ce concours réside dans le fait qu’il est ouvert à tout le monde, amateurs comme professionnels. Il y a également trois catégories réservées aux enfants. Cette galerie de clichés vous donne un aperçu des lauréats.

Young Wildlife Photographer of the Year: Carlos Perez Naval

L’auteur de cette photo est âgé de huit ans à peine. Il a également décroché le prix dans la catégorie '10 ans et moins’. Cette photo d’un scorpion au dard prêt à passer à l’action est, selon le jury, une petite prouesse technique.

WPY catégorie Environnement : Francisco Negroni

Lorsque l’éruption du volcan Puyehue a débuté, le photographe Francisco Negroni s’est aventuré dans le Puyehue National Park. Depuis une colline, il a assisté à un spectacle pour ainsi dire apocalyptique : des éclairs dans le ciel, sous lesquels on pouvait admirer la lueur de la lave en fusion et la fumée du volcan. “Je n’avais jamais vu rien de tel”, a affirmé Negroni.

WPY catégorie '15 à 17 ans': Anton Lilja

Le jeune lauréat Anton Lilja a pris ce cliché d’un crapaud en train de féconder une femelle. L’accouplement est un processus périlleux : le mâle doit féconder les œufs au moment où la femelle les pond. Dès qu’ils aboutissent dans l’eau, la fécondation devient impossible.
Sur cette photo, le mâle retient sa partenaire afin d’éviter de manquer le moment suprême. Pour prendre cette photo, Lilja a dû se coucher sur la berge, en maintenant son appareil photo à hauteur de la surface de l’eau.

WPY catégorie Mammifères : Alex Badyaev

Alex Badyaev a pris cette photo d’une scène de la vie nocturne dans l’ouest du Montana. Une petite souris s’est hissée sur un grand champignon et observe un moustique, éclairé par la lune. Pour ne pas effrayer l’animal, Badyaev n’a pas utilisé de flash. Il a préféré recourir à un temps d’obturation plus long.

WPY catégorie 'le monde entre nos mains' : Bruno D'amicis

L’histoire de cette photo est triste : un petit fennec de trois mois est mis en vente en Tunisie. Le vendeur, un adolescent pauvre, avait capturé le jeune animal dans un terrier dans le Sahara. En Tunisie, il est illégal d’attraper ou de chasser les fennecs, mais il s’agit pourtant d’une pratique courante.  

Le photographe, Bruno D’amicis, a longtemps participé à un projet concernant les fennecs et tout ce qui menace leur existence dans le Sahara. Il a déjà reçu un prix attribué par World Press Photo pour un cliché issu de la même série.

The Longline Lottery, par Rodrigo Friscione Wyssmann (Mexique)

Finaliste dans la catégorie 'Le monde entre nos mains'. Magdalena Bay sur la côte pacifique, dans l’Etat mexicain de Baja California

Touché, par Jan van der Greef (Pays-Bas)

Finaliste dans la catégorie 'Oiseaux'. Jan a pris cette photo lors d’un voyage en Équateur.

Little Squid, par Fabien Michenet (France)

Finaliste dans la catégorie 'Animaux aquatiques'. Plongée nocturne en eaux profondes près des côtes de Tahiti, dans le Pacifique.

Green Dragon, par le Britannique Will Jenkins

Finaliste dans la catégorie 'de 11 à 14 ans'. Il a pris cette photo lors d’un voyage en famille au Costa Rica.

Snowbird, par Edwin Sahlin (Suède)

Finaliste dans la catégorie 'de 15 à 17 ans'. La photo a été prise lors de vacances de sports d’hiver dans le nord de la Suède.

Regardez tout ce que vous aimez, où et quand vous voulez.

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Attention : regarder la télévision peut freiner le développement des enfants de moins de 3 ans, même lorsqu’il s’agit de programmes qui s’adressent spécifiquement à eux. Plusieurs troubles du développement ont été scientifiquement observés tels que passivité, retards de langage, agitation, troubles du sommeil, troubles de la concentration et dépendance aux écrans

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